Nous sommes toujours en recherche de toits pour développer de nouvelles installations sur Marseille.

Pour une question de rentabilité, nous recherchons actuellement en priorité des toitures d’une surface supérieure à 500 m² (mais nous pouvons étudier tout projet à partir de 300m², en fonction de leurs caractéristiques). Elles doivent être possédées par une structure associative ou privée, disposée à signer un bail autorisant Massila Sun System à occuper la toiture pour une durée de 20 ans, en échange d’un loyer.

Si vous connaissez des structures autour de vous qui pourraient mettre à disposition leur toit, ou auraient des parkings sur lesquels installer des ombrières photovoltaïques, n’hésitez pas à nous en parler et à nous mettre en contact. Nous pourrons alors réaliser une étude de faisabilité.

Vous trouverez à cette adresse un guide très complet sur la technologie photovoltaïque réalisé par le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) à destination du grand public.

Les panneaux solaires ne se recyclent pas

Le taux de recyclage est d’environ 95% (contre 70% pour une machine à laver). La grande majorité des panneaux sont constitués essentiellement d’un cadre en aluminium, de verre et de semi-conducteurs en silicium : ce sont des matériaux qui se recyclent facilement. Depuis 2014, le vendeur a obligation de collecter la DEEE pour la régler à un éco-organisme (PV-CYCLE) afin d’assurer le traitement des déchets en fin de vie.
Par ailleurs, Veolia a ouvert une usine en 2018 à Rousset (13) afin de recycler les modules solaires en France.
Visionnez ici une vidéo de PV-CYCLE sur le recyclage des panneaux solaires.

Les panneaux solaires contiennent des terres rares

Une étude de l’ADEME de novembre 2019 confirme que les technologies solaires photovoltaïques actuellement commercialisées ne contiennent aucune terre rare. Certaines utilisent des métaux qui peuvent être critiques, comme le tellure, le cadmium, l’indium ou encore l’argent, mais il ne s’agit pas de terres rares.

La fabrication des panneaux solaires demande beaucoup d’énergie

Un module photovoltaïque met entre 1 et 2 ans (voir ci-dessous) pour produire l’énergie qui a été utilisée pour sa fabrication (encadrement compris) tandis que sa durée de vie est de 30 ans et plus.

Les panneaux solaires ont un mauvais bilan carbone

Grâce à des améliorations technologiques rapides et continues, l’énergie solaire est devenue l’une des technologies énergétiques présentant une empreinte carbone parmi les plus faibles (voir ci-dessous).
Selon les chiffres de 2016, mis en avant par SolarPowerEurope, le solaire génère 20g de CO2 par kWh sur l’ensemble de son cycle de vie, contre 143 en 1992 – soit une réduction de 86% des émissions de carbone en un quart de siècle.
Aujourd’hui, l’énergie solaire produit 96% moins d’émissions de gaz à effet de serre (GES) que le charbon et 93% moins de GES que le gaz. De plus, on peut penser que ces améliorations s’intensifieront encore davantage dans le futur, rendant ainsi l’énergie solaire toujours plus verte.

Les installations solaires augmentent le risque d’incendie

Les installations photovoltaïques ne présentent pas un risque d’incendie plus élevé que d’autres installations électriques. Généralement, les incendies se produisent en raison d’une mauvaise planification ou installation des panneaux. L’erreur humaine est la principale source de problèmes et non l’installation elle-même. Notre installation sera validée par les pompiers et vérifié régulièrement par des professionnels.


« Embodied energy use »: énergie nécessaire pour construire les centrales électriques et leur fournir le combustible et les autres intrants dont elles ont besoin pour fonctionner ; « CSP »: centrale solaire thermodynamique.